dimanche 31 décembre 2006
Cars
Je ne sais pas si vous avez vu Cars, le dernier né des films d'animation des studios Pixar, une merveille technologique qui idéalise l'Amérique des sixties... ?
J'ai adoré et je vous invite à le visionner, si ce n'est pas déjà fait...
L'histoire
Nouvelle coproduction Pixar/Disney, Cars se déroule dans un monde de voitures.
Parmi elles, Flash McQueen, un jeune bolide rouge rouge rouleur de mécanique, doit disputer une importante course automobile en Californie.
Alors qu'il se rend au championnat, Flash, obnubilé par sa victoire, s'égare en chemin et atterrit dans la petite ville de Radiator Springs, sur la route 66. un bled perdu où il fait connaissance avec des tacots rouillés. Vieux, mais sages, ils vont apprendre à l'écervelé que dans la vie, ce qui compte, ce n'est pas de franchir la ligne d'arrivée, mais le trajet parcouru.
Parmi elles, Flash McQueen, un jeune bolide rouge rouge rouleur de mécanique, doit disputer une importante course automobile en Californie.
Alors qu'il se rend au championnat, Flash, obnubilé par sa victoire, s'égare en chemin et atterrit dans la petite ville de Radiator Springs, sur la route 66. un bled perdu où il fait connaissance avec des tacots rouillés. Vieux, mais sages, ils vont apprendre à l'écervelé que dans la vie, ce qui compte, ce n'est pas de franchir la ligne d'arrivée, mais le trajet parcouru.
Avec ce film en 3D qui déborde de trouvailles et carbure à l'émotion, Pixar suggère aux hommes de lever le pied de l'accélérateur. Et démontre, une fois de plus, que son savoir-faire est incomparable.
L'origine de ce chef-d'oeuvre : un film né sur la route de tous les souvenirs !
En recréant la route 66, John Lasseter, l'homme des studios Pixar, cultive la nostalgie de son enfance.
Emeryville, sur la côte Ouest des États-Unis : son bourg, sa vie magnifique sur la baie de San Francisco et... ses studios d'animation Pixar.
Derrière les murs d'un banal bâtiment en briques rouges, dans un décor de chambre d'ado - guirlandes fluo, skateboards, silhouettes de mangas -, ont été imaginés Toy Story 1 & 2, 1001 pattes, Monstres et Cie, Le Monde de Nemo et Cars, dernier bijou sorti de l'imagination de John Lasseter.
Le projet, faire "vivre" une communauté de voitures, est esquissé dès janvier 1999, après la sortie de Toy Story 2. mais le réalisateur cale sur son histoire...
Jusqu'au moment où Nancy, son épouse, l'oblige à faire un break pour s'aérer les méninges. Il tombe alors sur Routes 66, la route mère de Michael Wallis. Le livre lui rappelle son enfance à la fin des années cinquante, une époque où la famille Lasseter partait en vacances sur la route 66 et les 4000 kilomètres de bitume reliant Chicago (Illinois) à Los Angeles (Californie). C'est décidé, il rendra hommage aux tribulations familiales.
Reste à trouver son héros. Amoureux des voitures (merci papa, ancien concessionnaire Chevrolet), il fait d'un bolide de course pressé de tout gagner le personnage central de son long métrage. Il lui ressemble d'ailleurs. Car depuis son accession à la vice-présidence de Pixar en 1995, Lasseter n'a pas le temps de souffler. Il est en repos forcé ? Flash McQueen, son héros de bolide, le sera aussi dans une bourgade perdue le long de la route mythique.
Pour bâtir l'histoire de Cars, Lasseter embarque avec lui quelques créatifs maison. Ils doivent s'imprégner de la vie des villages traversés, des couleurs du ciel et des paysages, de la poussière soulevée par leurs voitures... Louée par Kerouac et chantée par les Rolling Stones, la route 66 devient leur terrain de jeu pendant six mois.
Il faudra ensuite quatre ans pour donner naissance au film.
Un "bébé" bien carrossé, générant 244 millions de dollars de recettes dans le monde et salué, en salles, par 2 millions de Français.
Trois questions à Tom Myers, créateur des effets sonores
On a l'impression d'assister à de vrais courses de voitures. Quelles sont vos astuces ?
Pendant un an, nous avons écumé tous les circuits des États-Unis. Nos micros étaient placés dans les stands ou directement sur l'asphalte.
Nous avons collecté des milliers de sons d'accélération, de crissements de pneus, de suspensions malmenées...
Nous avons même eu la chance de placer des micros sur une Ferrari lors d'un Grand Prix de F1. La voiture apparaît à la fin de Cars avec la voix de Michael Schumacher (en VO).
Quelles scènes ont été les plus ardues à sonoriser ?
Les courses en ouverture et en fin de film.
Pour éviter une cacophonie, on a d'abord isolé chaque son (le public, la course, les dialogues) avant de tout mixer ensemble, grâce au son digital numérique qui purifie les bruits, on fait des miracles !
Martin, le vieux camion. On allait abandonner quand on a trouvé un véhicule rouillé de 1958. On l'a poussé jusqu'à ses limites pour obtenir un son usé, quitte à faire fumer le moteur !
toute la mécanique grinçait et c'était exactement l'effet qu'on recherchait.
L'origine de ce chef-d'oeuvre : un film né sur la route de tous les souvenirs !
En recréant la route 66, John Lasseter, l'homme des studios Pixar, cultive la nostalgie de son enfance.
Emeryville, sur la côte Ouest des États-Unis : son bourg, sa vie magnifique sur la baie de San Francisco et... ses studios d'animation Pixar.
Derrière les murs d'un banal bâtiment en briques rouges, dans un décor de chambre d'ado - guirlandes fluo, skateboards, silhouettes de mangas -, ont été imaginés Toy Story 1 & 2, 1001 pattes, Monstres et Cie, Le Monde de Nemo et Cars, dernier bijou sorti de l'imagination de John Lasseter.
Le projet, faire "vivre" une communauté de voitures, est esquissé dès janvier 1999, après la sortie de Toy Story 2. mais le réalisateur cale sur son histoire...
Jusqu'au moment où Nancy, son épouse, l'oblige à faire un break pour s'aérer les méninges. Il tombe alors sur Routes 66, la route mère de Michael Wallis. Le livre lui rappelle son enfance à la fin des années cinquante, une époque où la famille Lasseter partait en vacances sur la route 66 et les 4000 kilomètres de bitume reliant Chicago (Illinois) à Los Angeles (Californie). C'est décidé, il rendra hommage aux tribulations familiales.
Reste à trouver son héros. Amoureux des voitures (merci papa, ancien concessionnaire Chevrolet), il fait d'un bolide de course pressé de tout gagner le personnage central de son long métrage. Il lui ressemble d'ailleurs. Car depuis son accession à la vice-présidence de Pixar en 1995, Lasseter n'a pas le temps de souffler. Il est en repos forcé ? Flash McQueen, son héros de bolide, le sera aussi dans une bourgade perdue le long de la route mythique.
Pour bâtir l'histoire de Cars, Lasseter embarque avec lui quelques créatifs maison. Ils doivent s'imprégner de la vie des villages traversés, des couleurs du ciel et des paysages, de la poussière soulevée par leurs voitures... Louée par Kerouac et chantée par les Rolling Stones, la route 66 devient leur terrain de jeu pendant six mois.
Il faudra ensuite quatre ans pour donner naissance au film.
Un "bébé" bien carrossé, générant 244 millions de dollars de recettes dans le monde et salué, en salles, par 2 millions de Français.
Trois questions à Tom Myers, créateur des effets sonores
On a l'impression d'assister à de vrais courses de voitures. Quelles sont vos astuces ?
Pendant un an, nous avons écumé tous les circuits des États-Unis. Nos micros étaient placés dans les stands ou directement sur l'asphalte.
Nous avons collecté des milliers de sons d'accélération, de crissements de pneus, de suspensions malmenées...
Nous avons même eu la chance de placer des micros sur une Ferrari lors d'un Grand Prix de F1. La voiture apparaît à la fin de Cars avec la voix de Michael Schumacher (en VO).
Quelles scènes ont été les plus ardues à sonoriser ?
Les courses en ouverture et en fin de film.
Pour éviter une cacophonie, on a d'abord isolé chaque son (le public, la course, les dialogues) avant de tout mixer ensemble, grâce au son digital numérique qui purifie les bruits, on fait des miracles !
Martin, le vieux camion. On allait abandonner quand on a trouvé un véhicule rouillé de 1958. On l'a poussé jusqu'à ses limites pour obtenir un son usé, quitte à faire fumer le moteur !
toute la mécanique grinçait et c'était exactement l'effet qu'on recherchait.
Alcool au volant
Imaginez, c'est bientôt noël, avec tout ce que cela comporte : vous allez bientôt commencer vos emplettes pour les fêtes et, ensuite, ce sera les réunions de famille, la petite fête avec les collègues du bureau...
L'histoire qui suit est un peu longue à lire, mais elle vaut la peine d'être lue puisqu'en plus d'être mignonne, elle fait réfléchir.
L'histoire qui suit est un peu longue à lire, mais elle vaut la peine d'être lue puisqu'en plus d'être mignonne, elle fait réfléchir.
A Noël
A la dernière minute, je me suis dépêchée de me rendre au magasin pour faire mes emplettes de Noël. Quand j'ai vu le monde qu'il y avait, je me suis mise à maugréer : "Je vais passer un temps fou ici et j'ai tant de choses à faire. Noël commence vraiment à être une corvée. ce serait tellement bien de me coucher et de me réveiller seulement après". Mais je me suis fait un chemin jusqu'au rayon des jouets et là, j'ai commencé à râler sur le prix des jouets en me demandant si les enfants joueraient vraiment avec.
Je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans qui tenait une jolie poupée contre lui. Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Puis le petit garçon se retourna vers la dame près de lui : "Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous ?". La dame lui répond avec un peu d'impatience : "Tu sais bien que tu n'as pas assez d'argent pour l'acheter". puis elle lui demanda de rester là et de l'attendre quelques minutes et elle partit rapidement. Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui et lui ai demandé à qui il voulait offrir cette poupée.
"C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour noël. elle était sûre que le père noël allait la lui apporter".
Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter.
Il me répondit tristement : "Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant... Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle lui apporte". Il avait le regard tellement triste en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur".
Mon coeur s'est presque arrêté de battre.
Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit : "J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin".
Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin sur laquelle il tenait la poupée en me disant : "Je veux que maman emporte aussi cette photo avec elle, comme çà, elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas, mais papa a dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur".
Puis il baissa la tête et resta silencieux. je fouillai dans mon sac à mains, sortis des billets et demandai au petit garçon : "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs ?".
"D'accord, dit-il. Il faut que j'en aie assez".
Je glissais mon argent avec le sien et nous avons recommencé à compter. Il y en avait suffisamment pour la poupée et même plus.
Doucement, le petit garçon murmura : "Merci Jésus pour m'avoir donner assez de sous".
Puis, il me regarda et dit : "J'avais demandé à Jésus de s'arranger pour que j'aie assez de sous pour acheter la poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma petite soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez ma maman aime tellement les roses blanches..."
Quelques minutes plus tard, sa tante revint et je m'éloignais en poussant mon caddie. Je terminais mes achats dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je les avais commencées. Je n'arrivais pas à oublier ce petit garçon.
Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter.
Il me répondit tristement : "Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant... Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle lui apporte". Il avait le regard tellement triste en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur".
Mon coeur s'est presque arrêté de battre.
Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit : "J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin".
Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin sur laquelle il tenait la poupée en me disant : "Je veux que maman emporte aussi cette photo avec elle, comme çà, elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas, mais papa a dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur".
Puis il baissa la tête et resta silencieux. je fouillai dans mon sac à mains, sortis des billets et demandai au petit garçon : "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs ?".
"D'accord, dit-il. Il faut que j'en aie assez".
Je glissais mon argent avec le sien et nous avons recommencé à compter. Il y en avait suffisamment pour la poupée et même plus.
Doucement, le petit garçon murmura : "Merci Jésus pour m'avoir donner assez de sous".
Puis, il me regarda et dit : "J'avais demandé à Jésus de s'arranger pour que j'aie assez de sous pour acheter la poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma petite soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez ma maman aime tellement les roses blanches..."
Quelques minutes plus tard, sa tante revint et je m'éloignais en poussant mon caddie. Je terminais mes achats dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je les avais commencées. Je n'arrivais pas à oublier ce petit garçon.
Puis, je me suis souvenue d'un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait percuté une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée. La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est ce que c'était la famille de ce petit garçon ?
Deux jours plus tard, je lus dans le journal que la jeune femme était décédée. Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant, sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement incroyable, et, en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui avait tout enlevé...
Deux jours plus tard, je lus dans le journal que la jeune femme était décédée. Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant, sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement incroyable, et, en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui avait tout enlevé...
Après la lecture de ce texte, vous avez un choix à faire : soit vous partagez cette histoire avec tous ceux que vous connaissez, soit vous faites comme si elle ne vous avait pas touchée.
En la partageant, peut-être empêcherez-vous quelqu'un de conduire son véhicule après avoir consommé de l'alcool...
En la partageant, peut-être empêcherez-vous quelqu'un de conduire son véhicule après avoir consommé de l'alcool...
Prudence sur la route !
Ame sensible s'abstenir, mais qui fait réfléchir en cette veille de réveillon !
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